Les Rouge et Blanc du CRB joueront gros ce week-end en affrontant le CSC à Constantine. Une confrontation entre deux concurrents directs pour la 2e place au classement général, qualificative pour la Ligue des champions la saison prochaine.
Les Belouizdadis ont entamé depuis le début de la semaine leur préparation pour cette importante rencontre. Tout le monde au CRB est mobilisé pour réaliser un bon résultat. Le premier responsable de la barre technique algéroise, Marcos Paqueta joue la carte de la motivation avec comme seul mot d’ordre, la victoire. Le technicien brésilien est en train de préparer un coup tactique à son homologue, Abdelkader Amrani du CSC, pour prendre le dessus dans cette confrontation.
Un bon coup à jouer à Constantine
Les gars de Laâquiba souhaitent aborder la rencontre dans les meilleures conditions possibles en visant la victoire. Le Chabab croit en ses chances, même s’il aura en face de lui une équipe du CSC, qui est l’une des meilleures équipes de la Ligue 1 cette saison et qui arrive à bien gérer ses rencontres, surtout à domicile. Une situation qui donne plus de motivation aux camarades de Benguit.
Les joueurs doivent gagner la bataille physique
Outre l’explication tactique, on prévoit une grosse bataille physique entre les deux équipes. Un point sensible pour le Chabab qui souffre de la fatigue ces derniers temps suite au cumul des matchs. Dans ce sens, on comprend mieux pourquoi Paqueta a insisté sur le fait de prévoir des séances de récupération pour ses joueurs car il sait qu’ils seront grandement sollicités sur le plan physique à Constantine et doivent répondre présent dans ce registre pour atteindre leur objectif.
Pas de changements en attaque
Si tout le monde attend de voir des changements au niveau de l’attaque du côté CRB, ce ne sera clairement pas le cas du moment que Paqueta n’a pas spécialement prévu de remanier son compartiment offensif et que c’est le trio Belkhir, Meziane et Wamba qui va débuter la rencontre face au CSC. C’est le trio qui donne le plus d’assurance à l’heure actuelle même si les critiques sont virulentes concernant le rendement offensif depuis quelques temps.
Akram B.
