Verstappen : « Nous n’avons aucune adhérence, c’est comme conduire sur de la glace »
7ᵉ des FP2, le Néerlandais s’est concentré sur le rythme de course avec les pneus médiums, rencontrant des difficultés avec les tendres et en simulation de tour rapide. Les deux premières séances d’essais libres du Grand Prix de Las Vegas n’ont pas offert des résultats très prometteurs pour Red Bull et son triple champion du monde Max Verstappen, qui pourrait pourtant décrocher un nouveau titre mondial ce week-end. Si le 5ᵉ temps réalisé lors des FP1 semblait encourageant, Verstappen n’a pas fait mieux qu’une 17ᵉ place lors des FP2, tandis que Sergio Pérez terminait en avant-dernière position. Contrairement à la majorité des pilotes, à l’exception d’Alexander Albon, le duo Red Bull a enregistré ses meilleurs chronos de la journée avec les pneus médiums, tout en rencontrant des difficultés notables avec les pneus tendres. Aucun des deux pilotes n’a effectué de simulation de qualification, préférant axer leurs essais sur le rythme de course.
Malgré tout, Verstappen a relevé plusieurs aspects sur lesquels l’équipe devra travailler avant les qualifications prévues aujourd’hui à 7h00, heure algérienne : « La piste était très glissante, et nous avons eu du mal à faire fonctionner les pneus, en particulier lors des tours rapides, » a-t-il expliqué. « En simulation de course, nous étions un peu plus compétitifs au début, mais là aussi, nous avons des choses à améliorer. Cependant, sur un tour rapide, nous sommes vraiment loin du compte. Les conditions ici sont très particulières : il fait très froid, mais c’est pareil pour tout le monde, alors nous devons comprendre ce qui ne fonctionne pas pour nous. Selon moi, le problème est fortement lié aux pneus : l’équilibre de la voiture n’est pas mauvais, mais nous n’avons tout simplement aucune adhérence. C’est comme conduire sur de la glace. »
Djaffar KHODJA
