Nabil Maâloul, le nouvel entraîneur de l’USM Alger, a fait une entrée remarquée en exprimant des grandes ambitions pour la saison à venir. Lors de sa récente visite au stade Nelson-Mandela à Alger avant-hier jeudi, le Tunisien a clairement affiché sa détermination à marquer l’histoire du club de Soustara.
Avec une confiance inébranlable, il a déclaré : « Nous promettons à nos supporters une saison exceptionnelle et nous nous engageons à nous battre et jouer à fond sur tous les fronts pour remporter tous les titres possibles ».
Arrivé à Alger mercredi, Maâloul s’est également rendu au stade du 5-Juillet, un lieu qu’il connaît bien suite à ses précédents passages en tant qu’entraîneur des Aigles de Carthage et de l’Espérance de Tunis. Ce même jour, il a rencontré le président-directeur général de l’entreprise portuaire Serport, Harkati, ainsi que le président du conseil d’administration, Sahbane, en présence de Koudri, responsable du matériel sportif. Cette rencontre a été l’occasion pour toutes les parties de discuter du projet de l’USM Alger, permettant à Maâloul d’exposer sa méthodologie de travail et sa vision pour la gestion de l’équipe. Après un dîner et des discussions fructueuses, l’ancien entraîneur de l’EST a signé un contrat de deux saisons, officialisant ainsi son engagement envers le club.
« Le stade Nelson-Mandela sera notre lieu d’entraînement »
Nabil Maâloul a également dévoilé une partie de son programme en décidant de délocaliser les entraînements de l’équipe première au stade Nelson-Mandela, préférant le gazon naturel de ce stade à la pelouse synthétique du stade Omar-Hamadi de Bologhine. Il a justifié ce choix en soulignant : « Nous disposons ici de tous les moyens nécessaires pour faire du bon travail. Nous jouerons la plupart de nos matchs sur gazon naturel, donc ce sera notre principal lieu d’entraînement. Je tiens à remercier ceux qui s’occupent du stade pour leurs efforts visant à nous offrir les meilleures conditions possibles, et je les remercie également pour leur accueil chaleureux ».
K. K. E.
