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La Capitale renoue avec la compétition

Grand Prix de la ville d'Alger

La ligue algéroise de cyclisme renoue avec la compétition et organise le grand Prix de la ville d’Alger du 9 au 11 novembre pour les catégories juniors et seniors, et ce en collaboration avec la Fédération algérienne de Cyclisme et la DJSL de la wilaya d’Alger, a-t-on appris. Cette compétition dont la réunion technique est prévue aujourd’hui à 19h à la Maison de Jeunes de Ain Benian, Alger, se déroule sur deux étapes dont la première est prévue le vendredi 10 novembre 2023. Cette joute, une course en ligne, s’étale sur un trajet de 95,5 km, reliant Birtouta à Zéralda. Le départ fictif est prévu au centre-ville, tandis que le départ réel sera donné près de la Gare Ferroviaire. Deux sprints intermédiaires sont au menu de cette première étape, le premier est fixé au passage près du stade de l’Arbaâ, alors que le deuxième est prévu à Boufarik centre, apprend-on de la page officielle de la FAC.

La deuxième étape de ce Grand Prix d’Alger est programmée samedi 11 novembre sur 96,4 km, où les coureurs devront sillonner les alentours de la ville de Zeralda, entre autres, Colonel Abbas, Douaouda Marine, Fouka Marine, Bousmail, Bouharoun Ain Tagourait avant d’emboiter à gauche vers le Tombeau de la Chrétienne. Là, les coureurs auront à grimper le premier col de 2e catégorie sur presque 1km au km 28,1, puis descendre à 10% vers Sidi Rached Centre pour emprunter ensuite le passage sur Boulila via Hadjout, tandis que le deuxième col de 2e catégorie également, s’étend sur 2 km au km 29,5 jusqu’à Hay Fekrane. Ainsi, deux sprints intermédiaires sont introduits dans cette course dont le premier est placé au 59e km face à la banque, tandis que le second est au 77,9 km près de Bouismail -Centre-ville. Puis les coureurs se dirigeront sur la ligne droite vers l’arrivée au stade de Zeralda en traversant les localités suivantes:Khemisti Marine, Fouka Marine, Douaouda Marine, les plages Colonel Abbas puis Lotfi et enfin la Flamme Rouge qui met fin à la concurrence, apprend-t-on.

Mourad Mellah

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