TAEKWONDO – Dans la perspective des JO de Paris-2024 : Test de sélection des meilleurs arbitres africains, à Alger
Dans le cadre des préparatifs des officiels africains pour les prochains Jeux Olympiques Paris-2024, la Fédération algérienne de taekwondo (FATak) a organisé du 9 au 11 courants, à l’hôtel Tulip Inn de Bab Ezzouar (Alger), un test international de sélection des meilleurs arbitres du continent.
Par Abdallah Guessoum
La Fédération algérienne de taekwondo (FATak) a organisé, au profit des arbitres africains choisis à cet effet, un séminaire de formation sur les dernières mises à jour des règles et règlements, à l’effet de sélectionner les meilleurs d’entre eux en vue d’officier aux prochains Jeux olympiques Paris-2024. Outre la FATak, le séminaire était organisé également sous la tutelle de la Fédération internationale de taekwondo et l’Union africaine de la discipline, en collaboration avec le ministère de la Jeunesse et des Sports et le Comité olympique et sportif algérien (COA).
Les meilleurs iront aux JO
Les arbitres africains présents à ce stage devaient recevoir une formation sur les nouvelles lois régissant l’arbitrage, avant d’être soumis à un test en vue de sélectionner les meilleurs d’entre eux, qui auront ainsi l’insigne honneur de représenter l’Afrique aux prochains Jeux Olympiques Paris-2024. Ce regroupement a rassemblé 40 arbitres venus de 17 pays africains.
L’Algérie choisie par la Fédération Internationale
Pour information, c’est la Fédération Internationale de Taekwondo qui, lors de sa dernière réunion, avait choisi l’Algérie, l’Azerbaïdjan, le Mexique et la Belgique pour accueillir les épreuves internationales de formation des arbitres devant participer aux JO Paris-2024. L’instance mondiale de la discipline avait alors fait savoir que l’Algérie était le premier pays africain à être choisi pour organiser cette formation internationale. Un honneur qui rejaillit édivemment sur tout le sport dans notre pays. C’est une sorte de consécration internationale qui reconnait la qualité indéniable des capacités de nos organisateurs dans le cadre de l’accueil et la fiabilité de nos infrastructures sportives. Comme tout un chacun a pu le constater, avec une fierté légitime et bien compréhensible, lors des Jeux méditerranens d’Oran qui se sont tenus l’année dernière dans la capitale de l’Ouest algérien.
