Football Algérien

Lacet : «Voilà pourquoi j’ai accepté le poste d’adjoint»

S’exprimant lui aussi sur le site de la JSK le coach-adjoint Mohamed Lacet a parlé de sa venue avec le coach Bouzidi à la JSK. D’emblée, il explique pourquoi il a accepté le poste d’adjoint, lui qui était sélectionneur nationale des U20 : « Les gens ne comprennent pas pourquoi j’ai accepté ce poste d’adjoint à la JSK, moi qui étais sélectionneur national des U20, des U17 et entraîneur en chef en Ligue 1 Mobilis. Mais ils ne savent pas que le fait d’être à la JSK est un honneur. Être adjoint ou second adjoint ou co-entraineur, cela n’a aucune importance pour moi. La JSK avait besoin de ses enfants et comme je me considère comme l’un de ses enfants, je dois donc faire partie des les gens qui aideront le club. Je connais le caractère de Bouzidi et sa méthode de travail dans de telles circonstances. Et je suis convaincu que grâce aux efforts des joueurs et du staff technique, appuyés par Mobilis, la JSK pourra s’en sortir », a déclaré Lacet.

«Le problème est d’ordre psychologique»
Pour l’adjoint de Bouzidi, le problème de la JSK est fondamentalement d’ordre psychologique. Aussi, la solution est la suivante, selon lui : « Le club a un problème d’ordre psychologique, et je peux le confirmer au moyen d’une simple démonstration. Où réside la différence entre cette JSK déterminée en Ligue des champions et celle du championnat à laquelle rien ne réussissait ? Il suffit de trouver la réponse à cette question pour avoir la clef du maintien de la JSK en Ligue 1 Mobilis. On va donc tous se sacrifier pour le maintien de ce club. Il y a ce problème psychologique à résoudre et celui des blessures. Si on parvient à enchaîner deux victoires de suite, la JSK enregistrera alors son vrai départ », a expliqué Lacet.

«On compte énormément sur le soutien des supporters»
Pour clore son intervention, Lacet lance un appel aux supporters pour leur dire : « Tout club quel qu’i soit n’est absolument rien sans supporters. Nos fans doivent donc savoir que sans eux on ne pourra rien faire et qu’on est prêts à l’impossible pour les satisfaire. Ils doivent donc nous assurer un soutien indéfectible et se mettre en tête que le maintien dépendra d’eux à 60% », a conclu Lacet son intervention.

M.L.

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