Amine Amoura : La liste des prétendants ne cesse de s’allonger
Alors qu’il avait débarqué à Bruxelles en provenance de Lugano (Suisse) à l’intersaison incognito, l’international algérien Mohamed Amine Amoura a réussi en deux mois à s’imposer en club et attirer l’attention de plusieurs cadors européens. L’attaquant algérien est surveillé par des clubs en Allemagne, en Italie, en France et en Angleterre. Le dénicheur des pépites, le Borussia Dortmund commence à s’intéresser grandement à Amoura, alors que le club lombard, l’AC Milan, en quête d’un attaquant pour son équipe, a jeté son dévolu sur l’ancien joueur de l’Entente de Sétif. Et récemment ce sont deux prétendants de la Ligue 1 Ubereats, en l’occurrence l’Olympique lyonnais et le LOSC qui ont affiché leur intérêt en vue de se renforcer pour la seconde partie de saison. Mais le second meilleur buteur de la Jupiler Pro League a une préférence particulière. Il veut rejoindre la Premier League, comme il l’a déjà déclaré. S’il quitte la Belgique, ce sera Crystal Palace, Wolverhampton où Brighton qui l’accueillera en été. Occupant la première place au classement de la Jupiler Pro League et qualifié en compétition européenne, l’Union Saint-Gilloise ne se permettrait pas de se passer de son buteur attitré lors de la phase retour. Il est vrai que le club reste ouvert à toutes les propositions pour Amoura, mais en ajournant son transfert à l’issue de la saison en cours.
Sa cote a connu un bond spectaculaire
L’Union Saint-Gilloise a flairé le bon coup en misant sur Mohamed Amine Amoura en réalisant le transfert le plus cher du club en signant un chèque de 4 millions d’euros plus bonus. Auteur de 17 buts et 5 passes décisives en 66 matchs toutes compétitions confondues sous les couleurs de Lugano, Amoura est sur le point de battre ce record en 17 matchs disputés avec Saint-Gilloise avec laquelle il a inscrit 14 pions dont deux en Europa League.
Selon Transfermarket la valeur d’Amoura a atteint 10 millions d’euros soit une augmentation spectaculaire de 6 millions d’euros, et on en est qu’à la mi-saison.
Djamel ABED
