Un tremplin pour les Jeux olympiques de la jeunesse Dakar- 2026
Ces jeux représentent une étape significative pour le sport jeune en Afrique, et pour l’image de l’Angola sur la scène internationale. L’Angola, qui a participé aux trois éditions précédentes des Jeux africains de la jeunesse et qui s’était classée 21e en 2018 avec sept médailles, est fière d’être le premier pays lusophone à accueillir cet événement. Le président de l’ACNOA, Mustapha Berraf, a lancé un appel vibrant aux jeunes d’Afrique : « Préparez-vous avec ardeur et discipline. Ces jeux sont pour vous une opportunité unique de démontrer votre talent, de renforcer votre esprit de compétition et de porter haut les couleurs de votre nation. Ils sont aussi un moment pour apprendre, pour échanger et pour bâtir un avenir meilleur à travers les valeurs du sport. »
L’Angola est prête à accueillir les meilleurs jeunes athlètes du continent et à faire de ces jeux un espace où les rêves prendront vie, où la diversité culturelle et sportive de l’Afrique sera mise en lumière et où de solides liens d’amitié et de fraternité seront tissés.
« En signant ce protocole d’accord, nous prenons un engagement collectif : celui de donner aux jeunes Africains les moyens de rêver, d’exceller et de s’épanouir. Ensemble, nous posons les bases d’un événement qui restera gravé dans l’histoire et dans les cœurs », a conclu Mustapha Berraf. Ces jeux revêtent une importance stratégique particulière, car ils serviront de qualifications pour les Jeux olympiques de la jeunesse (Dakar 2026), offrant aux jeunes talents africains une opportunité unique de progression vers les plus hautes compétitions internationales.
« Ces Jeux africains de la jeunesse sont une opportunité pour l’Angola de démontrer sa capacité organisationnelle et de renforcer ses infrastructures sportives nationales, positionnant le pays comme un centre stratégique pour le sport africain », a affirmé le ministre des Sports, Rui Luís Falcão Pinto de Andrade.
Les 4es Jeux africains de la jeunesse (Angola 2025) promettent d’écrire une nouvelle page de l’histoire du sport africain, combinant excellence sportive, célébration culturelle et diplomatie continentale dans un événement qui restera gravé dans les mémoires.
N. E.
