C’est une situation chaotique que Khaldi et son équipe ont héritée. En plus des créanciers, certains judokas, dont quelques-uns ont quitté le club, réclament leur argent, étant en possession de chèques dûment signés par l’ancien président Messaoud Tourqui. Bien qu’au cours de la saison, certains judokas n’aient pas respecté leurs obligations professionnelles, ils avaient exercé une forte pression sur Khaldi quelques jours avant le départ de Tourqui, pour obtenir ces chèques sans aucune défalcation, malgré leurs absences répétées. Dans l’entourage du club, des questions se posent sur la légitimité de Tourqui à signer ces chèques, étant donné qu’il était sur le départ. Cette affaire mérite d’être suivie de près.
K. M.
