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Abdelkader Merabet (doyen, coach Kounouz El-Bahia, Oran) :

« Malgré le manque de moyens, on s’efforce au sein de notre club Kounouz El-Bahia Oran de former de jeunes talents d’avenir. Dans un sens, ce Challenge Ramadhan est une bonne chose pour éviter l’inactivité de nos jeunes cyclistes, surtout afin qu’ils puissent maintenir leur top niveau. Durant toute ma carrière de formateur, j’ai travaillé avec des applications méthodiques afin de permettre aux jeunes cyclistes de bien progresser. C’est d’ailleurs ce que j’ai fait avec de nombreux champions, dont la championne Nesrine Houili, qui s’est dotée de bonnes capacités à s’adapter aux séances d’entraînement programmées par mes soins. Je ne suis nullement surpris par les performances de nos jeunes cyclistes, qui adhèrent à notre méthode de travail. Certains clubs ont abandonné la formation, mais il y a d’autres qui émergent, à l’image de notre club et de celui des Falaises Oran, qui s’impliquent à fond pour le cyclisme, pour améliorer le triathlon. Les performances constatées chez les cadets et cadettes ne sont pas le fruit du hasard, mais d’un bon travail, car ayant un niveau national. Malgré mon âge, les difficultés ne m’ont jamais découragé. Nous agissons avec volonté et détermination tout en surmontant nos obstacles. Je félicite les jeunes coureurs lauréats de cette 2e étape, ainsi que leurs encadreurs, qui continuent à œuvrer pour le bien de la discipline. »

B. Sadek

 

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