Football Algérien

Les supporters souhaitent le départ de Rabehi

Ils s’en sont pris à lui après le match de Magra

Après la défaite enregistrée à Magra, les supporters du Chabab ont encore une fois haussé le ton et demandent le départ du président, Mehdi Rabehi, en lui incombant la responsabilité de l’actuelle situation que l’équipe traverse. Les heures sont difficiles tant pour les joueurs que pour les dirigeants. D’ailleurs, s’il y en a un qui est actuellement en pleine tempête, c’est bien le président du Chabab, Mehdi Rabehi. En effet, celui-ci est devenu la cible de toutes les critiques depuis qu’il a failli dans sa mission et qu’il peine à faire progresser les choses dans la bonne direction. Sa gestion approximative, notamment lors de l’intersaison et du choix de l’entraîneur, a rendu la situation très compliquée pour lui. Après la défaite enregistrée à Magra, les supporters n’ont pas manqué l’occasion de s’en prendre à lui en le traitant de tous les noms d’oiseaux. Désormais, les choses sont assez claires, les fans ne réclament qu’une seule chose, le départ de ce président, et plus cela se fera tôt, mieux ce sera.
Il ne jettera pas l’éponge
Si certains ont fait courir la rumeur que le président allait remettre sa démission à l’actionnaire majoritaire du club, il n’en demeure pas moins que cette information est dénuée de toute vérité. Le président n’a aucune intention de démissionner, il s’accroche même corps et âme à son poste, refusant de céder à la pression exercée sur sa personne. Il est beaucoup plus préoccupé par la gestion du reste du parcours, et ne prête guère attention aux critiques dont il fait l’objet. Rabehi est persuadé qu’il réussira à remettre le train sur rails et ramener le calme à la maison. C’est d’ailleurs la meilleure réponse qu’il pourra réserver à ses détracteurs.
Il est toujours en poste
D’autres informations ont également évoqué un possible limogeage de Rabehi, mais il n’existe absolument aucune indication dans ce sens, car la personne concernée est toujours en poste et n’a reçu aucune notification ni décision de la part de l’actionnaire majoritaire, qui continue de la protéger contre vents et marées. Cette situation n’arrange personne et laisse présager que les prochains jours seront tendus, au moment où les Belouizdadis doivent se serrer les coudes dans ces moments difficiles.
Akram B.

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