
Nouveau round de négociations entre la direction du Chabab et le duo Bouras-Belkhir, mais une fois de plus, aucun accord n’a été conclu entre les deux parties. En effet le président Rabehi refuse catégoriquement la clause de départ imposée par le manager des deux joueurs.
Le dossier concernant la prolongation des contrats de Bouras et Belkhir semble sans issue. Alors que les deux joueurs campent sur leurs positions la direction ne veut pas abdiquer, cela n’a fait que compliquer la situation. Hier, Bouras et Belkhir ont rencontré une nouvelle fois le président pour tenter de trouver un accord mais malheureusement, les deux parties se sont une fois de plus, quittées sur un désaccord suite à une clause que l’agent des deux joueurs veut introduire dans le nouveau contrat. ..
Les joueurs insistent sur cette clause
Aux dernières informations, les joueurs concernés insistent sur cette clause pour signer un nouveau contrat. Le président Rabehi, de son côté, exclut tout accord tant que les deux joueurs insistent sur cette clause et a fait la promesse de libérer les deux joueurs en cas d’offre intéressante.
Aucune envie de rester
Ce qu’il faut savoir également, c’est que les deux joueurs auraient d’ores et déjà pris la décision de quitter le Chabab tout en étant libres de tout engagement. Ils estiment que partir libres leur donnera l’opportunité de trouver facilement un point de chute. Bouras et Belkhir sont en train de gagner du temps et négocier librement avec d’éventuels prétendants. Les deux joueurs ont clairement signifié qu’ils ne prennent pas compte des nouvelles propositions des dirigeants et qu’ils campent sur l’idée de quitter le CRB tout en étant libres de tout engagement.
Ça sent la mise à l’écart définitive
La décision de mettre à l’écart les deux joueurs de manière définitive semble déjà prise par la direction du club. Il se pourrait qu’ils soient même interdits d’entraînement avec l’équipe première. C’est dire que les dirigeants n’ont aucune intention de se laisser faire par rapport à cette affaire et veulent avoir le dernier mot.
Akram B.