De retour au pays, le président du Chabab veut faire le nécessaire pour essayer de régler le cas Wamba mais il se trouve que ce dossier est dans une impasse. Au sein de la formation belouizdadie, on espère encore et toujours procéder à un petit dégraissage et se défaire de quelques éléments qui ne sont pas dans les plans de la direction. D’ailleurs, le cas qui fait le plus parler est celui de l’attaquant camerounais, Leonel Wamba. En effet, ce dernier a compris qu’on ne voulait plus de lui et à partir de là, il a décidé d’essayer de trouver une solution. D’ailleurs, d’après une de nos sources, un premier round de négociation a déjà eu lieu entre les dirigeants et le manager mais pour l’heure, aucun accord n’a été trouvé entre les deux parties du moment que le joueur veut bien rester mais il espère dans le même temps, prolonger son contrat mais en ayant une très forte augmentation de salaire pour la saison prochaine. Cependant, les dirigeants ne l’entendent pas de cette oreille. En effet, d’après une de nos sources, les dirigeants ont refusé de s’aligner sur les prétentions salariales du joueur et ont décidé de ne pas augmenter leur offre, ce qui veut explicitement dire qu’ils n’ont pas l’intention de le garder.
Le Chabab se cache derrière la clause libératoire
Toujours d’après notre source, les dirigeants du Chabab sont assez tranquilles puisqu’ils ne comptent pas sur les services du joueur à l’heure actuelle et qu’ils n’ont aucune envie de lui faciliter la tâche, c’est ce qui explique le fait que les dirigeants ont demandé au joueur de ramener un club intéressé pour négocier son départ et récupérer un joli chèque. Maintenant, le plus important dans tout cela, c’est que les dirigeants se cachent derrière la clause de départ du joueur qui est de l’ordre de 500 000€. C’est la seule condition pour que le joueur puisse partir mais ce sera difficile du moment que le joueur n’a pas de contacts concrets pour le moment et cela risque de lui porter préjudice pour la suite du mercato qui n’est plus qu’à 20 jours de sa clôture.
Akram B.
