« Après le départ de l’ex-président de la ligue, j’ai fait l’objet d’un plébiscite pour présider le directoire et gérer les affaires de la ligue jusqu’à l’élection d’un nouveau président. J’ai tout fait pour remettre le tennis sur de bons rails à Oran et pour la tenue d’une assemblée générale élective, mais en vain. Durant une année, j’ai tenté d’organiser au total six AG, mais sans résultat du fait de l’incompréhension des uns et des autres et par manque de candidats crédibles. Aujourd’hui, la ligue est sans président et sans directoire. Cette situation de blocage a poussé Nabil Cheriak, le président de la FAT, à se déplacer à Oran pour tenter de trouver des solutions.
Il a alors tenu une réunion avec le DJSL et à laquelle j’ai pris part en qualité d’ancien du tennis et d’ex-président de ligue pour contribuer à trouver une issue au marasme que vit le tennis à Oran. La seule solution était de réconcilier les clubs et de tenir une AG élective au plus vite. Le président de la FAT s’est aussi réuni, au niveau de l’unité Habib-Khalil de tennis de Haï Salam, avec les clubs relevant de la ligue, et aussi en ma présence, pour les sensibiliser à se mobiliser en urgence pour former un bureau exécutif et trouver un candidat à la présidence de la LOT, répondant aux critères requis par le MJS. Il a été donc conclu d’organiser ce jeudi une assemblée générale extraordinaire pour la constitution d’une commission de candidature qui va recueillir les dossiers des postulants pour la présidence et les membres du bureau exécutif. Je tiens à préciser que je cherche seulement à contribuer, avec mon humble expérience, pour la relance du tennis à Oran. ».
B. Sadek
