Salah Bey Aboud : «Le choix du Togo n’est pas fortuit»

Le chargé de communication de la sélection nationale, Salah Bey Aboud a affirmé lors de son intervention au micro de la radio Jil FM que le choix porté sur le Togo pour la préparation de la sélection nationale n’est nullement fortuit, mais après une longue et minutieuse recherche et l’accumulation d’informations qui ont convaincu les parties prenantes à choisir le pays hôte.

« Après une large concertation entre le coach national Djamel Belmadi et le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Walid Sadi, pour trancher quant au pays où s’établira la sélection nationale pour effectuer son stage pré-compétitif, a été mûrement réfléchi ». Et d’enchaîner en expliquant que « le Togo est un choix judicieux en tous points de vue, tout y est, des infrastructures aux sparring-partners en passant par les terrains d’entraînement, un stade pour abriter nos deux matchs amicaux ».

« Lomé est la meilleure alternative »
Alors que plusieurs pays étaient annoncés et susceptibles d’accueillir les Verts pour leur ultime rassemblement du 1er au 10 janvier, le Sénégal, le Ghana et notamment la Guinée équatoriale qui était la plus pressentie. Mais les décideurs ont opté pour une autre destination, à savoir, Lomé, la capitale du Togo. Ce dernier, selon le chargé de communication des Verts, Salah Bey Abboud est le meilleur choix. « En somme, toutes les conditions sont là pour permettre aux Verts de peaufiner leur préparation et offrir un cadre idéal aux joueurs et notamment au staff de bien se préparer et se mettre dans le bain de la compétition, car comme vous devez le savoir, ce rassemblement qui précède une compétition d’envergure comme celle qui attend les Verts, revêt une grande importance », a-t-il lancé.

« Espérons que tout ira bien »
Avant de conclure, Abboud qui connaît assez bien l’Afrique, a néanmoins laissé paraître un soupçon d’appréhension et souhaité que le travail effectué jusque-là pour préparer ce regroupement répondra aux attentes du staff technique et des responsables de l’instance faîtière. « Espérons que tout ira bien et que tout le travail effectué par la FAF sera matérialisé sur le terrain. Car outre les préparatifs précédemment énumérés, il y a aussi un aspect important qui est l’adaptation à l’environnement et au climat qui sévit actuellement au Togo, qui est, faut-il le souligner, similaire à celui de la Côte d’Ivoire », a-t-il terminé.

Djamel Abed