Football Algérien

Zafour : « Le nouvel entraîneur pourrait être connu cette semaine »

Invité dimanche soir de la chaîne Canal Algérie de la télévision nationale, le manager général de la JSK, Brahim Zafour, a parlé de l’actualité du club, et notamment du recrutement d’un successeur à l’ex-entraîneur Youcef Bouzidi.

D’emblée, concernant le recrutement du futur entraîneur, le manager général a dévoilé la probable nationalité du successeur à Youcef Bouzidi, qui pourrait signer au cours de la semaine : « Nous sommes en négociations avec plusieurs entraîneurs français. Le choix n’est pas encore fait, mais il est fort possible que nous finalisions avec l’un d’entre d’eux cette semaine ».

« Mobilis a donné le feu vert à la direction »

Evoquant l’implication de Mobilis dans la gestion de la JSK, Zafour a fait savoir que la société de téléphonie mobile a donné délégation le Conseil d’administration de la JSK, présidé par Achour Cheloul, pour gérer en toute liberté les affaires du club : « Mobilis a donné le feu vert au président Cheloul et à la direction pour gérer les affaires du club ».

 » Voilà pourquoi Bouzidi est parti »

Zafour a également levé le voile sur les raisons de la séparation avec le coach Youcef Bouzidi : « Bouzidi est arrivé au point de ne plus pouvoir tirer le groupe vers le haut. Les joueurs ne pouvaient non plus suivre ses idées ».

« Mes relations avec Bouzidi étaient bonnes »

Alors que dans l’entourage du club on a évoqué une relation tendue entre Zafour et Bouzidi, ce qui aurait poussé ce dernier à partir, le manager général de la JSK a tenu à clarifier la situation : « Je n’ai aucun problème avec Bouzidi et je l’ai toujours soutenu. On a une bonne relation « .

« Bouzidi a dérapé en parlant des postes de Msuva et Matouti »

Toutefois, Zafour n’a pas raté l’occasion pour critiquer l’ex-entraîneur des Canaris, lorsque ce dernier s’était trompé sur les vrais postes de Msuva et Matouti : « Bouzidi a dérapé en parlant des postes de Msuva et Matouti lors d’une conférence de presse. Il aurait dû éviter de le faire et se concentrer sur ce qu’il avait à faire sur le terrain ».

M. L.

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