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Boumediene Bouanani réélu pour un deuxième mandat

AG élective de la Ligue d’Oran

Le président de la Ligue oranaise de volley-ball, Boumediene Bouanani, a été reconduit à la tête de la LOVB pour un deuxième mandat consécutif, lors de l’AGE de la Ligue.

Par B. Sadek

Bouanani a donc succédé à lui-même, porté par toute la famille oranaise du volley-ball. Sitôt en place, il a installé un nouveau bureau répondant à tous les critères requis. D’aucuns parmi la famille oranaise de la discipline estiment que c’est l’homme de la situation, au regard de la condition difficile que traverse aujourd’hui le volley-ball oranais. La confiance placée en Bouanani n’est pas un hasard, mais trouve sa justification dans sa parfaite connaissance de la discipline et, surtout, pour sa qualité de fonceur et de meneur d’hommes, très respecté, qui s’est donné comme objectif de faire sortir ce sport du tunnel. Le locataire de l’instance de wilaya ne perd jamais de temps pour mettre fin aux conflits, rassembler et surtout ouvrir les portes à toutes les bonnes volontés.

Tout le monde adhère à sa stratégie de travail et partage ses décisions. Cet ancien sportif, ex-président d’un club de volley-ball et actuel inspecteur d’EPS, insiste toujours sur la formation, à partir de la base, pour les jeunes, ainsi que pour les arbitres et les éducateurs. Les membres de l’AG ont donc renouvelé leur confiance pour la continuité de la mission et pour les efforts consentis par Bouanani pour le développement de la discipline durant le précédent mandat, malgré les énormes difficultés. Ce dernier n’a pas manqué de s’entourer d’anciens de la discipline dont l’expérimenté et DTW de la Ligue, Selim Berradjaa, pour sa parfaite connaissance de la discipline et du volley-ball féminin.

Un bureau exécutif de choix

Dès son plébiscite, le président réélu s’est entouré des nouveaux membres du bureau exécutif de la Ligue. Il s’agit d’éléments expérimentés, comme Fawzi Khelif (VP), Nasreddine Hassar (SG), Marouane Lahmar (trésorier), ainsi que deux femmes, Mokhtaria Kendji et Ikram Guettaf, deux universitaires détentrices d’un master en sport.

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