Dans l’univers effervescent du cinéma et de la course automobile, le prochain long métrage centré sur la Formule 1, avec Brad Pitt en tête d’affiche, promet une expérience cinématographique inédite. L’éclat des projecteurs se posera sur les légendaires 24 Heures de Daytona le week-end prochain, où des scènes cruciales du film seront capturées. Une annonce qui fait déjà vibrer les amateurs de sport automobile et de cinéma.
Le réalisateur de renom Joseph Kosinski, le producteur de légende Jerry Bruckheimer, et la société de production Apple Original Films ont uni leurs forces pour donner vie à ce projet cinématographique unique. Le septuple champion du monde de Formule 1, Lewis Hamilton, apporte également sa contribution à travers sa société Dawn Apollo Films. Jerry Bruckheimer, dont le génie a façonné des œuvres cinématographiques emblématiques telles que Top Gun, Pirates of the Caribbean et Con Air, a été désigné Grand Marshal pour les Rolex 24 At Daytona, marquant ainsi le coup d’envoi de la saison de l’IMSA SportsCar Championship. Le plateau de tournage s’installera autour de la Porsche 911 GT3 R de forme 992, arborant fièrement le numéro 120 et inscrite sous la bannière de l’équipe fictive Chip Hart Racing. Derrière les manettes de cette équipe virtuelle se trouve en réalité Wright Motorsports, orchestrant les talents d’Adam Adelson, Elliott Skeer, Jan Heylen et Fréderic Makowiecki. Curieusement, les noms des pilotes réels ne figureront pas sur la voiture de course. A la place, l’extérieur de la GT3 R présentera les noms de Sonny Hayes, personnage joué par Brad Pitt dans le film, ainsi que C Kelso et Patrick Long, ancien pilote de Porsche reconverti en ambassadeur.
Le film, encore sans titre, plongera les spectateurs dans l’univers compétitif de la Formule 1, avec Brad Pitt incarnant un ancien pilote qui fait son retour dans le sport aux côtés de Damson Idris, son coéquipier chez APXGP, une équipe fictive positionnée à la onzième place sur la grille. Une promesse de rebondissements palpitants et d’action à couper le souffle.
Adel CHOUKRI
