La direction, cette mauvaise élève !
Pour pouvoir conserver les joueurs recrutés à l’intersaison, la direction de l’USM Alger doit impérativement sortir son chéquier et payer les dettes qui ne cessent de prendre une ascension vertigineuse. Sachant que sa tentative était vouée à l’échec, la direction a néanmoins voulu gagner du temps avec les instances de la FIFA dans le dossier d’Antar Yahia, mais cette dernière a été intransigeante en affirmant que sa décision est exécutoire. Le cas de l’ancien directeur sportif n’est pas isolé et la direction multiplie les erreurs de gestion après avoir été déboutée par les mêmes instances en 2020, l’USMA avait été sommée d’indemniser son ancien attaquant Prince Ibara à hauteur de 200 000 euros. C’est l’histoire qui se répète à chaque intersaison, de l’argent jeté par les fenêtres à cause de dirigeants laxistes.
En outre, le club doit encore sortir le chéquier pour clore le dossier de son ex-joueur burkinabé, à savoir Hamad Belem qui réclame ses arriérés. Akram Djahnit et Abdeslam Bouchouareb s’entêtent et repoussent la dernière proposition représentant trois salaires de compensation, ce qui est loin des attentes de ces deux joueurs, qui pour leur part, espèrent percevoir douze mensualités.
Djamel A