Lacet maintenu finalement
Comme déjà annoncé sur ces mêmes colonnes, le nouvel entraîneur de la JSK, Rui Almeida, a ramené avec lui son propre staff technique, composé d’un adjoint et d’un préparateur physique. Et alors que tout le monde s’attendait à une fin de mission pour Lacet, on apprend avec bonheur que ce dernier sera finalement maintenu dans le nouveau staff technique. Selon une source fiable, l’intéressé a eu une réunion avec la direction du club, qui a jugé utile de le garder aux côtés du coach Almeida, puisqu’il qui connaît bien le groupe, contrairement au Portugais. Ce dernier aura certainement besoin de lui pour l’aider dans ce sens.
Il a présenté un rapport détaillé au Portugais
Maintenu dans son poste, Lacet a présenté un rapport détaillé sur l’équipe au nouveau coach Rui Almeida, ce qui aidera forcement ce dernier à se faire une idée assez claire sur son groupe et sur les qualités de tout un chacun, surtout que son premier test face à l’ESS est prévu dans moins d’une semaine. D’autres sources révèlent par contre que c’est Lacet qui aura à diriger l’équipe lors de cette rencontre face à l’Entente, le Portugais devant se contenter de superviser ses joueurs et récolter un maximum d’informations sur son effectif.
Continuera-t-il jusqu’à la fin de la saison ?
Néanmoins, et si Aït Tahar fait également partie du staff de la JSK, ils vont donc se retrouver à trois comme coachs-adjoints, en comptant l’adjoint portugais. D’où là l’impératif de définir par la suite la tâche dévolue à chacun d’eux. Reste à savoir maintenant si d’autres décisions ne seront pas prises par rapport à cette situation.
L’absence énigmatique d’Aït Tahar
Bien que les dirigeants aient affirmé que Rui Almeida allait travailler avec Lacet et Aït Tahar, l’absence de ce dernier à la réunion tenue par les dirigeants avec l’entraîneur portugais et les joueurs, mais aussi à la séance d’entraînement d’hier, fait dire à certains qu’Aït Tahar serait parti sans faire de bruit. Il semblerait en effet que les dirigeants ne sont pas satisfaits de son travail.
M. L.
