Allik face à un dossier sensible

Alors que le club s’active en coulisses pour préparer le mercato hivernal, un dossier brûlant continue de monopoliser l’attention de la direction : celui des joueurs jugés indésirables mais toujours sous contrat. Selon nos informations, l’ensemble des joueurs concernés a catégoriquement refusé jusqu’ici la proposition de résiliation amiable présentée par les dirigeants. La direction espérait pourtant parvenir rapidement à une solution afin d’alléger la masse salariale et dégager des marges financières pour attirer de nouveaux renforts en janvier. Mais les négociations s’enlisent, et le club est pour l’instant dans l’incapacité de débloquer les ressources nécessaires pour renforcer l’effectif.

Toujours d’après nos informations, les éléments visés par cette opération de dégraissage ne souhaitent pas quitter le club avant le terme de leur contrat. Ils comptent rester jusqu’à la fin de la saison, quitte à évoluer très peu, voire pas du tout. Une situation qui complique sérieusement le travail de la direction, laquelle souhaitait trouver une issue rapide et éviter de supporter plusieurs mois de salaire jugés désormais injustifiés au regard des priorités sportives du club.

Face à cette impasse, Saïd Allik, figure forte de la maison, est désormais appelé à intervenir personnellement. Le dirigeant devra trouver les mots justes pour convaincre les joueurs concernés d’accepter une séparation à l’amiable. Au-delà de l’aspect financier, Allik veut éviter que cette situation ne perturbe l’atmosphère du vestiaire ou ne freine la relance sportive espérée. Selon nos informations, la direction compte réinvestir immédiatement les économies réalisées dans le recrutement de joueurs capables d’apporter un réel plus dans la deuxième moitié de saison.

À l’approche du marché hivernal, ce dossier apparaît déterminant pour la suite de la saison. Tant que les résiliations ne sont pas actées, la direction reste limitée dans ses mouvements et dans ses ambitions de renforcement. Les prochaines semaines seront donc décisives : soit Allik parvient à convaincre les joueurs d’accepter un départ anticipé, soit le club devra composer avec une situation financière plus rigide que prévu.